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Examen Cambridge
Par Alicia Parisse • Publié le 09/05/2022
Le jeudi 28 avril, après deux années de préparation intensive, les CM2 ont passé l’examen Cambridge.

« Il y avait deux groupes séparés », nous explique Louis. La moitié a commencé avec les épreuves écrites (reading, listening, writting), l’autre avec l’épreuve orale du Speaking. Ensuite les groupes ont été inversés.

Pour les épreuves écrites, Rose nous raconte que « c’était assez facile mais il y avait des exercices où c’était plus compliqué : le reading et writting. Faut essayer de comprendre les textes du coup parfois c’est compliqué quand on ne connait pas tous les mots ». « Le dernier c’était le plus dur », précise Louis. Il ajoute que « pour le listening, il y avait une voix qui parlait et on devait écouter. Il y avait deux fois l’écoute ». Dans la salle, « on était tous séparés » décrit Rose, et « il y avait des étiquettes avec nos prénoms, le centre FR532 et le numéro du candidat » ajoute Eléanore.

Pour le Speaking, « soit on coloriait en salle des maîtres, ou on allait faire le Speaking pendant 10 min ». L’épreuve se déroule avec un examinateur qui dialogue en Anglais avec chaque élève individuellement : il leur propose différents exercices (décrire une image, raconter une histoire à partir d’une mini-BD etc.). « Henri était Français mais il parlait Anglais », nous explique Lucas. « Au début il nous disait bonjour en Français et après il nous parlait que Anglais. Il était sympa. », poursuit Rose. Louis précise même « qu’il est tellement gentil que des fois il donnait le début des mots : il veut nous aider mais il sait qu’il n’a pas le droit donc il se retient ». L’examen s’est bien déroulé selon Eléanore car « on était préparé avec l’examen blanc, du coup c’était pas stressant ».

A la fin de la journée, « on se sentait soulagés » nous dit Lucas et « heureux, parce qu’on pensait que c’était pire, beaucoup plus difficile. Et après on est sorti et on était tout heureux parce que la pression elle est partie », ajoute Eléanore. Ce sentiment de soulagement provient du fait que « c’est tout ce qu’on a travaillé » selon elle.
Même si les enfants ne savent pas s’ils ont réussi, ils sont satisfaits de ce qu’ils ont fait. Lucas est content : « au début de l’examen, je croyais que c’était trop dur mais en fait à la fin de l’examen c’était pas si dur ».

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